Petite discussion dans la rue ce week-end avec Tornade, en passant à côté d'un distributeur de billets:
Tornade: Papa on s'arrête à la machine, il me faut de l'argent.
Moi (un peu surpris): Quoi ? Mais pour quoi faire ? Et en plus tu n'as même pas de carte pour retirer de l'argent au distributeur.
Tornade: Non mais tu me donnes la tienne, tu vas voir, je vais gagner plein de billets.
....
Trop dur la vie, à 4 ans !
Alors faut-il y voir simplement un comportement mimétique typique à cet âge là, ou plus sérieusement, une manipulation de la part de Maléfica, qui, comme par hasard, ne la ramenait pas, bien au chaud qu'elle était dans sa poussette. Je la soupsçonne fortement d'influencer le comportement de son frère (je ne sais pas comment, mais le Démon qui est en cette fillette a bien des ressources). C'est pas possible autrement, ils s'entendent trop bien, ces deux là.
lundi 23 février 2009
mardi 17 février 2009
Joyeux anniversaire !
Bien bien, aujourd'hui est un jour comme les autres, mais pas trop; il faut quand même signaler que c'est l'anniversaire de ma fille. Enfin, pas que la mienne, c'est aussi la fille de sa mère. Dans la lignée de "Tornade" et "Ouragan", (voir le message précédent) donnons-lui un petit surnom sympathique. Voyons, quelque chose de féminin, tendre, limite angélique. Après réflexion, je crois que le pseudonyme le plus adéquat est "Maléfica", du suffixe "a", qui en latin implique une certain idée de féminité (comme, par exemple, dans "la nana"= "la fille", tout bêtement, à ne pas confondre cependant avec "l'ananas"="une fille qui a un sérieux problème de coiffure", on peut citer également "pizza"="une fille originaire d'Italie" ou encore "carbonara"="une fille qui aime beaucoup les pâtes", sans oublier "miss américa"="une fille qui a 51 étoiles tatouées sur le derrière", et j'en oublie certainement), donc du suffixe "a", et du mot "maléfique", qui implique une certaine idée de démon. Donc "Maléfica"=la petite fille du démon, le calvaire sans fin, l'horreur au quotidien, le mauvais numéro, pas de bol quand même.
Donc Maléfica fête aujourd'hui son premier anniversaire. Souhaitons-lui en bien d'autres, et souhaitons-en également d'autres à ses parents, et à sa mère en particulier, parce que moi j'évite de l'approcher sous peine d'avoir envie de la coller dans un congélateur, sa mère donc qui vit (survit ?), depuis un an, avec une sorte de tumeur littéralement greffée à son corps. L'une ne va plus sans l'autre. Le bébé-tumeur-démon passe son temps à hurler, et ce depuis l'instant de sa naissance, d'un hurlement ininterrompu, de jour comme de nuit. Et encore, ça pourrait être un hurlement auquel on s'habitue. Mais non, ça ressemble plutôt au son d'une sirène d'alarme, vous savez, le machin anti-intrusions avec pile la fréquence qu'il faut pour faire frire un cerveau, qui vous paralyse sur place et vous oblige à vous rouler par terre, les mains sur les oreilles, en priant Dieu de vous rappeler illico à Lui.
Maléfica a commencé à foutre le bordel (pas d'autre terme) bien avant sa naissance. Elle s'est mise à taper sa pauvre mère dès qu'elle en a eu la force physique, vers 4 ou 5 mois de grossesse, alors qu'elle n'était qu'une grosse crevette. Je suis sûr que si elle avait pu hurler à l'époque, elle l'aurait fait. Heureusement, la nature étant bien faite, elle n'a pu que frapper, griffer, mordre et tordre l'utérus maternel, et tirer sur le cordon ombilical, sans parler des retournements multiples -- si elle avait eu un trampoline, parions qu'elle s'en serait servi ! Puis vint le jour de la naissance. Bon déjà, elle avait un bon mois et demie d'avance, soit. On aurait dû voir les signes anonciateurs de l'apocalypse, mais bien entendu, on était comme des idiots à se dire "chouette on va avoir une petite fille, c'est le plus beau jour de notre vie". Ah les niais ! Ensuite, pas le temps de faire les analyses de sang, la péridurale ou quoi que ce soit d'autre, on a juste eu le temps d'arriver à l'hôpital que Maléfica sortait du ventre maternel, dans la salle d'attente, alors que rien ni personne n'était prêt. Et là, arrive une toute petite chose, à peine 2kg, c'est vraiment pas lourd. Elle s'est empressée de se mettre à têter sa mère, et elle a rapidement repris du poil de la bête, puisqu'arrive le moment où elle se met à hurler. Avec un volume sonore digne des plus bruyants phénomères naturels, incroyable qu'une si petite chose puisse hurler si fort. Depuis, elle hurle encore, de plus en plus fort. Au point que les voisins, certes un peu intimidés par le vacarme, viennent cependant régulièrement vérifier que Maléfica n'est pas attachée au plafond par les pieds pendant qu'on la torture au chalumeau.
Et pour dire à quel point le bébé démoniaque est fourbe et cruel (en plus d'être très salissant): elle ne hurle pas vraiment tout le temps. Elle sait s'arrêter lorsqu'elle est en public, par exemple, et là elle prend une expression de bébé adorable, tellement mignonne qu'il faut faire vachement gaffe aux mamies qu'on croise dans les supermachés, parce qu'elles sont capables de nous la faucher pendant qu'on achète des yaourts ! Il y a aussi les moments où on n'en peut plus, ou personne dans la maison n'en peut plus, ça va faire une semaine qu'on n'a pas dormi, et l'autre qui hurle comme si on lui arrachait les yeux. Il y a donc ce moment où, pendant une seconde, on envisage soit de se jeter sous un train, soit de commettre un infanticide. La pensée se précise, les regards vont et viennent entre le bébé rouge de colère, la porte du four et celle du congélo. Et au moment même où on va comettre l'irréparable, quitte à aller en prison le reste de sa vie, au moins en prison il n'y a pas de bébés, ou alors je comprends pourquoi il y a tant de suicides en prison, donc au moment précis où le geste s'amorce, le bébé se tait ! Du silence, enfin ! Et là, le bébé-démon-verrue te fait un sourire. Le genre de sourire pour lequel tu peux tout pardonner. Bien entendu, ça dure juste le temps du pardon, ensuite rebelotte, les cris reprennent de plus belle.
Depuis un an, Maléfica a bien entendu franchi des étapes. Elle refuse toujours de marcher, bien qu'elle ait une technique très au point, mais les bras de maman c'est quand même bien plus pratique. Plus question donc de la laisser hurler toute seule dans une pièce: elle nous rattrape, à l'aide de son étonnant "déplacement lattéral à 3 pattes". Elle commence également à comprendre des rudiments de psychologie: si tu ne t'occupes pas de moi, je m'automutile. Véridique.
Bon anniversaire donc, petit démon. Sache cependant que tous nos tourments ne seront pas oubliés. Inutile de venir geindre, à 15 ans, pour qu'on t'achète un scooter ou qu'on te laisser aller en boîte (et je connais toutes les techniques qui pourraient te permettre de faire le mur !). Ne t'étonne pas si parfois, le dimanche matin, je te jette un seau d'eau froide à la figure sur les coups de 5h du mat et qu'ensuite je te traîne dehors pour un footing forcé, alors que tu aurais bien dormi jusqu'à 10h. Ce ne sera que justice !
lundi 16 février 2009
Second message
Il faut que je trouve une autre méthode pour donner un titre à mes messages, sinon qu'est-ce que je vais faire dans 30 ans hein ? "dix mille sept cent quarante deux-ième message", ça c'est un titre. J'y réfléchirai en temps utile.
Bilan de ce week-end: épuisant ! Mais bon, c'est un peu ma faute, je refuse l'intervention des méthodes modernes en général, et de la tronçonneuse en particulier, pour couper mes arbres. Donc en avant pour les vieilles méthodes, je monte péniblement à quelques mètres de hauteur, ma vieille scie entre les dents (ceci dit je préfère porter ma vieille scie avec les dents plutôt qu'une tronçonneuse, histoire de préférence personnelle), jusqu'à ce que la branche qui me porte soit trop mince pour continuer à me soutenir, et là je coupe le bout qui me surplombe, tout en faisant attention à ne pas me prendre ledit bout dans la tronche lorsqu'il tombe. Puis je descends un peu et je coupe un autre morceau, ainsi de suite.
Laissons de côté les arbres, ça ne durera qu'un temps, quand il n'y en aura plus je m'arrêterai tout seul. J'ai quand même fait quelque chose de spécial durant ce week-end: à la base notre premier enfant (appelons-le par exemple "Tornade", ça permettra de l'identifier, et puis ça va bien avec son caractère doux et ses manières d'enfant de 4 ans, rien à voir avec la seconde, qui n'a qu'un an mais qui nous en a déjà fait baver cent fois plus qu'un troupeau de "Tornade" en 4 ans...), donc Tornade et son meilleur-copain-pour-la-vie, mettons "Ouragan", voulaient monter dans un avion. Donc après quelques négociations rondement menées de la part des deux catastrophes naturelles (on veut monter en avion sinon on vous casse les oreilles, et quand je dis les oreilles, c'est pour rester poli, jusqu'à la fin de vous jours), nous acceptons donc de les conduire jusqu'à l'aérodrome pour un baptème de l'air. Là grosse déception, ils veulent monter dans le joli biplan bleu qui est dans le hangar, mais non en fait ils n'auront droit qu'à un petit mono-moteur à hélice (j'y connais rien encore en avions hein).
Une fois installés à l'arrière, Tornade et Ouragan sont transformés: ils se taisent ! Enfin presque... mais momentanément, ils n'ont plus d'exigences, c'est déjà ça de gagné. Naturellement, je m'installe à côté du pilote, et c'est parti. Les enfants restent calmes, quand je dis calmes ils jouent quand même un peu avec les casques/micros et s'amusent à répondre aux messages diffusés par radio, mais ils se calment très vite après le décollage. La journée est superbe, il n'y a presque pas de vent, on voit jusqu'à l'autre bout de la France... un petit tour au-dessus de la maison, les enfants s'émerveillent simultanément (alors qu'ils regardent du mauvais côté), et là... le pilote me passe les commandes !
Heu là il faut bien dire que je n'étais pas super fier. Ca c'est passé un peu comme dans la pub: "là c'est le manche, tu tires pour monter, tu pousses pour descendre, tu tournes pour tourner, bon courage hein !". Bon, quand il faut y aller... j'apprends en dix secondes à repérer l'horizon artificiel, la vitesse et l'altitude, et ma foi, je n'ai pas fait de grosses bêtises. Quelques changements de cap et d'altitude, c'est tout de suite plus impressionnant quand c'est moi qui doit les faire. Et bizarrement, je trouve que l'appareil vibre beaucoup plus quand je tiens les commandes. Et au retour, la classe, je dois me positionner derrière un autre appareil qui vient de décoller (pour ne pas risquer de lui rentrer dedans, j'imagine).
Une fois revenus au parking (hum, je ne suis pas sûr qu'on dise ça pour un avion, mais ça ira), surprise: Tornade et Ouragan roupillent comme des bienheureux ! Le pilote me dit qu'ils se sont endormis à mi-parcours, comme quoi ça ne secouait pas tant que ça en fait. On m'y reprendra à faire monter des enfants dans un avion à 60 euros la demi-heure ! Ils sont furax lorsqu'on les réveille, en fait l'avion c'est THE endroit à la mode pour piquer une sieste, de nous jours. En ce qui me concerne, ça donne envie d'aller plus loin, cette petite leçon improvisée. Enfin un truc d'intéressant dans la vie ! Enfin je veux dire, plus intéressant que des milliards de photons qui se baladent comme des crétins dans toutes les directions et qui passent leur temps à trouver des manières imprévues pour sortir de la géométrie, sans compter qu'ils mettent une mauvaise volonté évidente à transporter leur énergie de façon convenable.
Bilan de ce week-end: épuisant ! Mais bon, c'est un peu ma faute, je refuse l'intervention des méthodes modernes en général, et de la tronçonneuse en particulier, pour couper mes arbres. Donc en avant pour les vieilles méthodes, je monte péniblement à quelques mètres de hauteur, ma vieille scie entre les dents (ceci dit je préfère porter ma vieille scie avec les dents plutôt qu'une tronçonneuse, histoire de préférence personnelle), jusqu'à ce que la branche qui me porte soit trop mince pour continuer à me soutenir, et là je coupe le bout qui me surplombe, tout en faisant attention à ne pas me prendre ledit bout dans la tronche lorsqu'il tombe. Puis je descends un peu et je coupe un autre morceau, ainsi de suite.
Laissons de côté les arbres, ça ne durera qu'un temps, quand il n'y en aura plus je m'arrêterai tout seul. J'ai quand même fait quelque chose de spécial durant ce week-end: à la base notre premier enfant (appelons-le par exemple "Tornade", ça permettra de l'identifier, et puis ça va bien avec son caractère doux et ses manières d'enfant de 4 ans, rien à voir avec la seconde, qui n'a qu'un an mais qui nous en a déjà fait baver cent fois plus qu'un troupeau de "Tornade" en 4 ans...), donc Tornade et son meilleur-copain-pour-la-vie, mettons "Ouragan", voulaient monter dans un avion. Donc après quelques négociations rondement menées de la part des deux catastrophes naturelles (on veut monter en avion sinon on vous casse les oreilles, et quand je dis les oreilles, c'est pour rester poli, jusqu'à la fin de vous jours), nous acceptons donc de les conduire jusqu'à l'aérodrome pour un baptème de l'air. Là grosse déception, ils veulent monter dans le joli biplan bleu qui est dans le hangar, mais non en fait ils n'auront droit qu'à un petit mono-moteur à hélice (j'y connais rien encore en avions hein).
Une fois installés à l'arrière, Tornade et Ouragan sont transformés: ils se taisent ! Enfin presque... mais momentanément, ils n'ont plus d'exigences, c'est déjà ça de gagné. Naturellement, je m'installe à côté du pilote, et c'est parti. Les enfants restent calmes, quand je dis calmes ils jouent quand même un peu avec les casques/micros et s'amusent à répondre aux messages diffusés par radio, mais ils se calment très vite après le décollage. La journée est superbe, il n'y a presque pas de vent, on voit jusqu'à l'autre bout de la France... un petit tour au-dessus de la maison, les enfants s'émerveillent simultanément (alors qu'ils regardent du mauvais côté), et là... le pilote me passe les commandes !
Heu là il faut bien dire que je n'étais pas super fier. Ca c'est passé un peu comme dans la pub: "là c'est le manche, tu tires pour monter, tu pousses pour descendre, tu tournes pour tourner, bon courage hein !". Bon, quand il faut y aller... j'apprends en dix secondes à repérer l'horizon artificiel, la vitesse et l'altitude, et ma foi, je n'ai pas fait de grosses bêtises. Quelques changements de cap et d'altitude, c'est tout de suite plus impressionnant quand c'est moi qui doit les faire. Et bizarrement, je trouve que l'appareil vibre beaucoup plus quand je tiens les commandes. Et au retour, la classe, je dois me positionner derrière un autre appareil qui vient de décoller (pour ne pas risquer de lui rentrer dedans, j'imagine).
Une fois revenus au parking (hum, je ne suis pas sûr qu'on dise ça pour un avion, mais ça ira), surprise: Tornade et Ouragan roupillent comme des bienheureux ! Le pilote me dit qu'ils se sont endormis à mi-parcours, comme quoi ça ne secouait pas tant que ça en fait. On m'y reprendra à faire monter des enfants dans un avion à 60 euros la demi-heure ! Ils sont furax lorsqu'on les réveille, en fait l'avion c'est THE endroit à la mode pour piquer une sieste, de nous jours. En ce qui me concerne, ça donne envie d'aller plus loin, cette petite leçon improvisée. Enfin un truc d'intéressant dans la vie ! Enfin je veux dire, plus intéressant que des milliards de photons qui se baladent comme des crétins dans toutes les directions et qui passent leur temps à trouver des manières imprévues pour sortir de la géométrie, sans compter qu'ils mettent une mauvaise volonté évidente à transporter leur énergie de façon convenable.
vendredi 13 février 2009
Premier message
Je pensais créer un premier message (billet, post, etc) qui aurait dit, en substance: "Bonjour je me présente je suis éleveur/dresseur de photons, mais c'est pas pour ça que je veux faire un blog, enfin c'est quand même un peu lié, non j'ai quelque chose de spécial c'est que je suis invisible, pas juste un peu transparent hein, complètement, totalement, irrémédiablement invisible. Non je vous assure, je ne pleure pas sur mon sort, je n'essaie pas de dénoncer une situation ni de rallier des gens à ma cause, je ne manque pas de confiance en moi (ou alors un tout petit peu, mais en tout cas je me soigne), je ne fais que décrire un état de fait que je trouve limite amusant en prenant un peu de recul; je suis même plus qu'invisible, parfois je me dit que je n'existe pas, surtout dans mon travail ah voilà je recolle à l'élevage de photons, enfin bref tout ça pour dire que je vais maintenir ce blog pour faire partager au monde les aventures de l'homme invisible-qui-n'existait-pas".
Mais en fait je me suis rendu compte que ce genre de présentation n'aurait aucun sens ! Etant parfaitement invisible, inconnu et ignoré, personne ne lira ce blog, à part quelques rares autre invisibles/ignorés/inconnus ne barrez aucune mention qui se reconnaîtront. Donc inutile de me présenter, ouf c'est toujours ça de moins à faire, inutile également de donner les raisons pour lesquelles je suis invisible/ignoré/n'existe pas, puisque ce sont essentiellement des personnes dans ma situation qui liront ces lignes.
Donc en avant pour les aventures trépidantes de l'éternel post-doc (rajouter le terme "invisible/ignoré/n'existe pas" ici serait pure redondance) ! Promis, je ne parlerai pas des sujets ennuyeux auxquels je ne comprends rien: la politique, les bagnoles, le foot et la télé en général, la couture, la pêche à la ligne et j'en passe, enfin bref le monde réel des gens réels qui existent. Non mais quoi, le titre du blog n'a pas été choisi au hasard quand même !
Mais en fait je me suis rendu compte que ce genre de présentation n'aurait aucun sens ! Etant parfaitement invisible, inconnu et ignoré, personne ne lira ce blog, à part quelques rares autre invisibles/ignorés/inconnus ne barrez aucune mention qui se reconnaîtront. Donc inutile de me présenter, ouf c'est toujours ça de moins à faire, inutile également de donner les raisons pour lesquelles je suis invisible/ignoré/n'existe pas, puisque ce sont essentiellement des personnes dans ma situation qui liront ces lignes.
Donc en avant pour les aventures trépidantes de l'éternel post-doc (rajouter le terme "invisible/ignoré/n'existe pas" ici serait pure redondance) ! Promis, je ne parlerai pas des sujets ennuyeux auxquels je ne comprends rien: la politique, les bagnoles, le foot et la télé en général, la couture, la pêche à la ligne et j'en passe, enfin bref le monde réel des gens réels qui existent. Non mais quoi, le titre du blog n'a pas été choisi au hasard quand même !
Inscription à :
Articles (Atom)